Automne Vingt Vingt

Même si je suis loin d’avoir rempli mon agenda contrairement aux années précédentes, je suis arrivé à trouver une petite vingtaine de spectacles susceptibles de me plaire cet automne. Voici donc ma sélection pour cet automne vingt vingt, en espérant que tout se déroule comme prévu, je ne vous fais pas un dessin, surtout que je ne sais pas dessiner.

Par ordre d’apparition :

1- Original, d’après une copie perdue au Théâtre de l’Aquarium (les 27, 28 et 29 août) – Conception : Samuel Achache, Marion Bois et Antonin-Tri Hoang, avec notamment la pianiste Eve Risser, le comédien Léo-Antonin Lutinier, etc.

« Performance déambulatoire dans les recoins du théâtre avec une vingtaine d’acteurs, musiciens, costumiers, techniciens, éclairagistes : Installations sonores, conférences, concerts inachevés, film reconstitué, performance, pièce de théâtre, opéra miniature etc. »

En attendant la deuxième édition de Bruit – Festival de l’Aquarium, il est bon de reprendre les bonnes vieilles habitudes (théâtrales) en arpentant ce haut lieu de la Cartoucherie. J’aime déambuler, que cela soit écrit. Et ça me fera peut-être oublier que c’est la rentrée…

2- Uneo uplusi eurstragé dies à la Villette – par Gwenaël Morin (les 12 et 13 septembre 2020 – avec le Festival d’Automne à Paris)

« Uneo uplusi eurstragé dies met en scène trois mises à mort à partir de l’œuvre de Sophocle : celle d’Ajax, d’Antigone et d’Héraclès. Du lever du jour au zénith de midi, la force tragique antique et l’urgence théâtrale de Gwenaël Morin se mêlent, entre épure scénique et rituel singulier. »

L’idée de me lever à 6h du matin pour voir ce spectacle déambulatoire de 6h30 à la Villette me ravit au plus haut point. Surtout que je vis à 6 minutes à pied de ce haut lieu du 19e arrondissement de Paris, je ne le répèterai jamais assez. Je cherche d’ailleurs à acheter dans ce quartier-là ou dans les 20e/11e un deux pièces d’au moins 30 mètres carrés à moins de 200 000€. Certaines personnes disent que je suis un rêveur, mais je ne suis pas le seul.

3- De la sexualité des orchidées au Centre Wallonie Bruxelles (les 17 et 18 septembre 2020) – Conférence performée de et par Sofia Teillet

« Sous des dehors de conférencière très sérieuse, Sofia Teillet nous livre une leçon de biologie des plus savoureuses et jubilatoires. Images et schémas à l’appui, elle se passionne pour la sexualité de certaines espèces végétales et animales, en particulier celle de l’orchidée. Nous découvrirons les techniques de reproduction étonnantes qu’ont développées ces espèces, en réponse à leur environnement et leur difficulté à rencontrer naturellement l’autre sexe. »

Je suis nul en botanique et j’aime apprendre des nouvelles choses. (je trouve qu’il y a de plus en plus de conférences performées dans le paysage théâtral (au moins) français. Et je ne dis pas cela parce que ma pièce à moi prendra également cette forme…)

4- Aux éclats au Théâtre de la Bastille – par Nathalie Béasse (du 14 septembre au 8 octobre 2020)

« Sur le plateau, on se déguise, on met des masques, on essaye de s’adonner à la prestidigitation, on se court après, on s’asperge d’eau, on s’énerve, on se gifle, on se réconcilie, on roule ou on chute… Aux éclats… explore les débordements en tous genres, les limites entre le plein et le trop-plein, entre le vide et ce qui excède, mais aussi les failles et les empêchements des êtres humains grâce à la présence de trois personnages, sortes de Buster Keaton des temps modernes, qui jouent devant nous comme des enfants. »

Ouverture du Théâtre de la Bastille avec la nouvelle création d’une de ses artistes fétiches. Revenir, je l’espère, dans ce lieu, que je ne fréquenterai pas aussi fréquemment que durant les saisons précédentes sera forcément un grand moment pour moi. Six mois déjà…

5- D’autres mondes au Nouveau Théâtre de Montreuil – par Frédéric Sonntag (du 22 septembre au 9 octobre 2020)

« Au début des années 60, un jeune physicien français au génie précoce et un auteur de science-fiction soviétique travaillent sans le savoir sur le même concept : l’existence d’univers parallèles. Cinquante ans plus tard, leurs enfants – le leader d’un groupe de rock renommé et une futurologue récemment médiatisée – sont chacun hantés par l’héritage paternel et confrontés au même moment à d’étranges événements : le surgissement d’autres réalités au sein de leur réalité propre. Mais que sont donc exactement ces autres mondes qui s’ouvrent à eux ? »

Le précédent spectacle de Frédéric Sonntag, B. Traven, avait donné lieu à mon premier papier pour le Blog de Nestor. Je m’en souviens, aussi, parce que ça m’avait beaucoup plu. Rien à voir, il y a des artistes, comme ça, qui reste à l’écart de Paris, pour une raison inexpliquée…

6- Jamais labour n’est trop profond à Nanterre Amandiers – Conception et mise en scène de Thomas Scimeca, Anne-Elodie Sorlin & Maxence Tual (du 22 au 27 septembre 2020)

« La planète souffre de mille maux. Les sols s’épuisent. Les forêts brûlent. L’air devient irrespirable. La biodiversité se réduit de jour en jour. Et voilà que les pandémies nous isolent quand elles ne nous tuent pas. Que faire ? Faut-il crier « Tous aux abris ! » ? Revenir à la terre ? Cultiver ses propres tomates ? La scène, le théâtre, jouer : cela a-t-il encore du sens ? Ne vaut-il pas mieux contempler la lenteur extatique de l’escargot ou réapprendre à utiliser notre télencéphale à des fins plus utopiques ? »

Ce spectacle, qui aurait dû se jouer la saison dernière, ne sera sûrement pas comme les autres. Je suis même curieux de voir ce que donne un spectacle avec des anciens Chiens de Navarre, sans Jean-Christophe Meurisse aux commandes.

7- The History of Korean Western Theatre au Théâtre de la Bastille – Conception, texte, direction, musique, vidéo et performance Jaha Koo (du 23 septembre au 1e octobre 2020 – avec le Festival d’Automne à Paris)

« Jaha Koo a quinze ans quand il rejoint le club théâtre de son école. En 2008, il assiste à un symposium célébrant le 100 anniversaire du théâtre coréen. Il s’étonne. Pourquoi les auteurs les plus joués en Corée du Sud sont-ils Shakespeare, Molière et Ibsen ? Existe-t-il un théâtre contemporain en dehors du répertoire occidental ? »

Une de mes grandes frustrations de l’an passé (hormis les spectacles annulés) fut de ne pas avoir pu découvrir son spectacle avec des auto-cuiseurs, répétition oblige. Hâte de le découvrir avec ce nouveau spectacle.

8- Exécuteur 14 au Théâtre du Rond Point – Une pièce de Adel Hakim, mise en scène de Tatiana Vialle, avec Swann Arlaud, en présence de Mahut (du 30 septembre au 23 octobre 2020)

« Il n’avait rien d’un assassin. Mais la guerre est là, qui l’imprègne, dilue en lui son langage et son venin. Il devient le guerrier d’un conflit dont il ne comprend rien. Il apprend la haine, suit un Dieu vengeur. Contaminé par la barbarie, il se débat avec ses restes d’humanité. »

Ou l’incompréhension de ne pas avoir vu une précédente (et touchante) mise en scène de Tatiana Vialle être reprise à Paris. Cette fois-ci, elle met seulement en scène un certain Swann Arlaud…

9- La brèche au CentQuatre – Texte de Naomi Wallace, mise en scène de Tommy Milliot (du 7 au 17 octobre 2020)

« Dans les années 1970, quatre adolescents scellent un pacte pour protéger le plus fragile d’entre eux. Ils se retrouvent quatorze ans plus tard : Acton est mort. »

Je profite d’un abonnement au CentQuatre pour découvrir de nouvelles troupes, des artistes en devenir. Pour la petite histoire, j’aurais dû voir cette pièce la saison dernière lors d’une de mes escapades marseillaises au Théâtre Joliette.

10- Quand je serai grande à la Comédie des 3 Bornes – de et avec Margaux Cipriani et mise en scène par Sophie Troise (tous les lundis, du 5 octobre 2020 au 25 janvier 2021)

« A 30 ans un bilan s’impose ! Il faut quitter l’enfance où on avait encore un pied pour se lancer complètement dans le monde adulte ! Il faut faire le point entre ce qu’on imaginait et la réalité… Mais il ne faut pas pour autant oublier ses rêves ! Il faut les réaliser et passer au dessus des désillusions… La vie, la vraie, le travail, la maternité avec toutes ses surprises et sa poésie, la famille, les vieux dans les bus,… un monde s’ouvre à nous avec sensibilité et humour… »

Copinage pour un spectacle mis en scène par celle avec qui je travaille sur ma propre pièce…

11- Parlement au Théâtre de la Bastille – de Joris Lacoste avec Emmanuelle Lafon (du 8 au 14 octobre 2020, avec le Festival d’Automne à Paris)

« Depuis 2007, Joris Lacoste mène avec un collectif l’Encyclopédie de la parole, projet destiné à inventorier et répertorier les formes orales.(…) En résulte ici un monologue jubilatoire, porté par la prodigieuse Emmanuelle Lafon qui enchaîne sans pause la confidence murmurée, le discours d’une femme politique, celui d’un philosophe inspiré, le commentaire sportif, le message téléphonique de la conseillère bancaire ou la dictée, souvent en français, parfois dans une langue étrangère… Les codes des différents régimes de parole apparaissent dans toute leur nudité et ce qu’on perçoit alors est d’abord une musique, à la fois familière et étrange, comique et effrayante, car déplacée, extraite de sa gangue habituelle. »

Pour la petite histoire, Emmanuelle Lafon fait aussi partie du collectif F71 qui, fut un temps, créait des spectacles autour des écrits de Michel Foucault. C’est grâce à une de leurs créations, Notre corps utopique, que j’ai découvert ce philosophe. Et donc rien que pour cela…

12- La peste c’est Camus mais la grippe est-ce Pagnol ? aux Bouffes du Nord – par les Chiens de Navarre et conçu par Jean-Christophe Meurisse (du 16 au 24 octobre 2020)

« Dans ce contexte sanitaire et culturel exceptionnel, j’ai proposé aux acteurs qui ont fait l’histoire des Chiens de Navarre de se réunir, pour dix soirées et d’inventer un spectacle différent chaque soir. De jouer ou lire une pièce qui n’a jamais été écrite à chaque représentation. Nous revenons ainsi aux principes fondateurs de la compagnie : la totale improvisation. Libre, jubilatoire et explosive. Pour le meilleur et surtout (nous espérons) pour le pire. » Jean-Christophe Meurisse

Vais-je avouer que j’ai mis un mois avant de comprendre le jeu de mots du titre ? En tout cas, heureux de revoir tous les Chiens de Navarre pour un impromptu, une forme originale, une surprise ! Mais était-ce une bonne idée de prendre cette place au premier rang ?

13- Madame Fraize au Théâtre du Rond Point – par Monsieur Fraize sur une mise en scène de Papy (du 28 octobre au 28 novembre 2020)

Monsieur Fraize flotte dans une robe verte et fendue, il chante l’amour et le manque. Peut-être a-t-il emprunté la robe de Madame Fraize pour mieux parler d’elle, âme sœur et tout à la fois grand-mère, sœur et marraine ? Madame Fraize est son épouse, réelle ou rêvée, on ne connaîtra pas son nom. Elle le guide aujourd’hui. Elle le sociabilise. Enfant timide à vie, il a vécu dans l’ombre de ses parents. Il vit aujourd’hui dans la lumière de sa compagne.

Une autre de mes inspirations, avec un tout nouveau spectacle. J’ai copié collé le résumé, mais je ne veux même pas le lire tellement je veux avoir la surprise, déjà qu’avec ce titre…

14- Les Frères Karamazov à l’Odéon Théâtre de l’ Europe – par Sylvain Creuzevault avec notamment Nicolas Bouchaud (du 12 novembre au 6 décembre 2020, avec le Festival d’Automne à Paris)

« Les Frères Karamazov est un monstre. Comme pour Les Démons (mis en scène aux Ateliers Berthier à l’automne 2018), Sylvain Creuzevault taille dans ses 1300 pages les éléments d’une lecture inspirée par Heiner Müller et Jean Genet, selon qui l’ultime roman de Dostoïevski est avant tout “une farce, une bouffonnerie énorme et mesquine”. Cet humour farcesque devient ici littéralement ravageur. »

Je n’ai jamais lu ce monument de la littérature russe. Cette pièce me fera office de « profil d’une œuvre », ça me rappellera le bon temps du lycée où je ne lisais pas tout ce qu’on me prescrivait et… J’en dis trop. Ma professeure de français sera déçue si je raconte tout… Et puis y a Nicolas Bouchaud…

15- Pacific Palisades au Théâtre Paris Villette – texte Guillaume Corbeil / mise en scène et dramaturgie Florent Siaud / interprétation Evelyne de la Chenelière (du 12 novembre au 5 décembre 2020)

« En 2015, un homme prétendant être mi-homme mi-extraterrestre et agent des services secrets américains est retrouvé mort dans sa voiture. Son garage cache des millions de dollars en armes, munitions et petites coupures. Autour de lui, gravitent plusieurs femmes. Pacific Palisades part de cet intrigant fait divers californien pour mener l’enquête. Fiction ? Réalité ? »

Il me faut ma dose de théâtre québécois. Et quand je lis que l’auteur de « Nous voir nous – Cinq visages pour Camille Brunelle » + un metteur en scène dont j’avais manqué l’adaptation de 4.48 Psychose de Sarah Kane + une comédienne qu’il me tarde de découvrir : je répondrai présent.

16- Ton père au Monfort Théâtre – d’après le livre de Christophe Honoré, par Thomas Quillardet (du 18 au 28 novembre 2020, avec le Festival d’Automne à Paris)

« C’est l’histoire d’un homme qui vit à Paris avec sa fille de 10 ans. Sur le papier que cette dernière a trouvé épinglé à la porte de leur appartement, des mots griffonnés au feutre noir : « Guerre et Paix : contrepèterie douteuse ». Très vite, tout s’emballe. Qui a écrit ces mots ? Qui le soupçonne d’être un mauvais père ? Peut-on être gay et père ? »

Parce que Thomas Quillardet ne m’a pour l’instant pas déçu avec ses adaptations scéniques des films de Rohmer ni avec la pièce de Tiago Rodrigues « Tristesse et joie dans la vie des girafes » (d’ailleurs est-ce que le film portugais adapté de cette pièce sortira un jour en France ?). Parce que Christophe Honoré (même si j’en apprécie un film sur deux).

17- Abysses aux Plateaux Sauvages – sur un texte de Davide Enia et une mise en scène de Alexandra Tobelaim (du 23 au 28 novembre 2020)

« Aujourd’hui, un père et un fils regardent l’Histoire se dérouler sous leurs yeux, sur un rivage de l’île de Lampedusa. Au cœur des débarquements, cette histoire nous porte à la rencontre des sauveteur·trice·s et des habitant·e·s de cette île. Abysses est le récit de la fragilité de la vie et des choses, où l’expérience de la douleur collective rencontre celle, intime, du rapprochement entre deux êtres. »

Si les Plateaux Sauvages rouvrent vraiment, je répondrai présent à cette pièce d’une metteuse en scène dont j’avais beaucoup apprécié le Italie Brésil 3 à 2, vu à la Manufacture il y a quelques années à Avignon. Je précise, les Plateaux Sauvages ont une excellente programmation et une multitude de rencontres, ateliers avec les artistes programmés, tout cela pour un prix « responsable » (on choisit nous-mêmes le prix) A consulter !

18- Catarina et la beauté de tuer des fascistes aux Bouffes du Nord – texte et mise en scène de Tiago Rodrigues (du 26 novembre au 19 décembre 2020, avec le Festival d’Automne à Paris)

« Cette famille tue des fascistes. C’est une tradition suivie, sans exception, par chaque membre de la famille depuis plus de 70 ans. Aujourd’hui, ils se réunissent dans une maison à la campagne, au sud du Portugal, près du village de Baleizão. La plus jeune de la famille, Catarina, va tuer son premier fasciste, kidnappé pour l’occasion. C’est un jour de fête, de beauté et de mort. Cependant, Catarina est incapable de tuer ou refuse de le faire. Un conflit familial éclate, suivi de plusieurs questions. »

En attendant ma quatrième et dernière vision de « By Heart » en décembre le jour de mon anniversaire, c’est aux Bouffes du Nord qu’on appréciera la toute dernière création de l’artiste portugais. Je ne vais pas récapéter tout ce que je pense, tout ce que je sais de Tiago Rodrigues, on est d’accord…

19- Choeur des amants aux Bouffes du Nord – texte et mise en scène de Tiago Rodrigues (du 27 novembre au 19 décembre 2020)

« Tiago Rodrigues revient à sa première pièce de théâtre. Écrite et créée à Lisbonne, en 2007, Chœur des amants est un récit lyrique et polyphonique. Un jeune couple raconte à deux voix la condition de vie et de mort qu’ils traversent lorsque l’un d’eux se sent étouffé. En juxtaposant des versions légèrement différentes des mêmes événements, la pièce nous permet d’explorer un moment de crise, comme une course contre-la-montre, où tout est menacé et où l’on retrouve la force vitale de l’amour. »

Double programme puisque le même jour je verrai deux personnes qui me rappelleront certains souvenirs : Alma Palacios et David Geselson, de retour dans l’univers de Tiago Rodrigues.

20- Une cérémonie au Théâtre de la Bastille – Écriture et mise en scène Raoul Collectif (du 26 novembre au 19 décembre 2020)

« Nous sommes des Quichottes lorsque nous partons nous battre avec des armes usées et poussiéreuses contre le capital, contre la finance, contre la bêtise et les profits, contre le patriarcat et la fascination du pouvoir, contre les esprits étriqués et les discours dominants. En ce qui nous concerne ces armes sont le théâtre – la parole, les mots, les corps, les voix, la musique, l’ivresse poétique. Et l’intelligence collective. »

Une pièce que j’aurais dû voir au printemps dernier au Théâtre National de Bruxelles, que vous auriez pu voir cet été au Festival d’Avignon, que certains verront avant moi pendant la semaine d’art dans la cité des Papes fin octobre… Bruxelles, Avignon, vous me manquez !

En prime, deux pièces qui sont reprises cet automne et que j’avais appréciées…

Je ne sais pas ce qu’il en sera des concerts, mais j’espère assister au Requiem de Mozart à la Philharmonie de Paris… Puis pourquoi pas revoir Jonathan Capdevielle ou Mathieu Bauer… Du Boris Charmatz, des spectacles présentés par le Festival d’Automne à Paris s’inclueront peut-être à ce joli programme… Je serai aux aguets quant à la programmation du Théâtre 14 qui a su faire preuve d’inventivité et d’une belle réactivité en présentant des spectacles annulés au Off d’Avignon (merci la Covid !), je tendrai l’oreille concernant les pièces programmées au Théâtre de Belleville, à la Reine Blanche ou au Lavoir Moderne Parisien…

En attendant de nouvelles chroniques, prenez bien soin de vous.

Crédits photos : DR – Bun Jun Fri – Camille Bondon – Jean-Louis Fernandez – Kyle Thompson – Anne-Elodie Sorlin / Camille Lourenço – Choy Jong Oh – Stéphane Trapier – Christophe Raynaud de Lage – Sandrine Servent – Huma Rosentlski – DR – Stéphane Trapier – DR – DR – DR – Alexandra Bandeau – Pedro Macedo – Filipe Ferreira – DR

3 réflexions au sujet de « Automne Vingt Vingt »

  1. Salut! Pour info, si je lis ton article sur mon Fairphone, un max de pub sont intercalées entre tes chapitres. En revanche, sur mon ordi, pas de pub. Bonne continuation!
    PS. Le jour de ton anni, iras-tu sur scène prouver que ta mémoire est encore performante? 😉

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    1. Bonjour,
      Effectivement… Je viens de vérifier sur mon smartphone qui n’est pas fair et toutes ces pubs, c’est moche… Déjà que j’ai dû m’habituer au nouvel éditeur, c’est comme si WordPress m’obligeait à passer au payant. Merci pour de m’en avoir informé.
      Bonne continuation/reprise à toi aussi.
      Ps : C’est une bonne question, que je me pose. C’est la 4e fois que je verrai ce spectacle, je connais un tout petit peu Tiago Rodrigues, donc je ne sais pas. Je tenterai peut-être de convaincre la personne qui m’accompagnera d’y aller.

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